Hélas ! Malheur à moi ! Parce que je ressemble à celui qui viendrait chercher des fruits en plein été, à celui qui grappille après les vendangeurs. Mais il n’y a pas une grappe que l’on pourrait manger, et pas une figue nouvelle dont j’ai si grande envie.
Malheur à moi! car je suis comme à la récolte des fruits, Comme au grappillage après la vendange: Il n'y a point de grappes à manger, Point de ces primeurs que mon âme désire.
Malheur à moi! car je suis comme à la récolte des fruits, Comme au grappillage après la vendange: Il n’y a point de grappes à manger, Point de ces primeurs que mon âme désire.
Malheur à moi, car je suis comme à la récolte des fruits, comme au grappillage après la vendange: il n'y a pas de grappes à manger, pas une de ces figues précoces que je désire.